Florent CHOPIN

CHOPIN Florent Galerie Arnaud Bard

Ce sont deux labyrinthes qui se font face dans un mouvement qu’il est difficile de décrypter : le peintre et le tableau; sur la trame vivante d’un monde toujours nouveau, vous sentez battre l’ancien. Stratifications; tous les anciens mondes sédimentés qui affleurent en chaque point, chaque ligne ou chaque touche de couleur.

Vous faites votre propre archéologie mentale; vous êtes votre propre archéologie vivante et à travers vos vêtements vous palpez cette incroyable architecture osseuse qui est en vous, qui vous fait marcher, penser, aimer, rêver; D’où viennent ces ruines qui n’en sont peut-être pas ? On songe, on pense à Hubert Robert, à Monsu Desiderio au XVII ème siècle dans l’atelier de Naples.

Mes ruines ne sont pas des ruines, elles sont les clés d’un nouveau mécanisme dont les enjeux naissent de la dialectique accélérée du projet, du travail de Construction et de Déconstruction. Un tableau est un champ de fouilles. F. Chopin

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